posté le 02-01-2012 à 17:20:46

Cancale

Vue sur le port de Cancale (département 35 - Ile et Vilaine)

 

 

 
 la mairie de Cancale

 
 la fontaine des laveuses d'huitres cancalaises

 
 Amphithéâtre de verdure 

 
Maison à Cancale, derrière l'église

 

Cancale près de la fontaine. Les anciens ce jour de chaleur lourde cherchent ombre et fraîcheur 

 
Maison à Cancale, derrière l'église

  

 

 
 La mer veille... pardon la police surveille.

 

 
Ciel cancalais... à la tombée du soir

 
                                    foudeBassan22 fb
 


Commentaires

 

1. framboise24  le 03-01-2012 à 08:55:27  (site)


ca donne de plus en plus envie de visiter la bretagne
magnifiques photos
merci ma douce
bonne journee

2. Bretony  le 03-01-2012 à 17:30:09

Elles sont magnifiques ces photos

3. annick831  le 04-01-2012 à 17:15:49

super joli ma douce Béa

gros bisous

4. linette  le 04-01-2012 à 17:31:15

trop belles les photos
bisous ma belle

5. ppone  le 10-01-2012 à 23:32:23

superbes photos
superbes paysages
le corse apprécie la nature à l'état pur !

 
 
 
posté le 02-01-2012 à 16:45:47

Pouces-pieds du Trou de l'Enfer des Rochers de Saint-Guénolé Penmarc'h

Difficulté : Facile
 
Temps de cuisson : 15 minutes
Nb de personnes : 4

Ingrédients :
  •  2 à 3 kg de pouce-pieds
  • gros sel
  • poivre
  • thym
  • laurier
  • 1 verre de vin blanc sec (facultatif)

Les pouces-pieds "Pollicipes pollicipes"(ou pousse-pied, poussepied) sont des crustacés de la famille des Anatifes, ressemblant à des pattes de tortues et fixés au rochers exposés aux vagues comme ceux de Belle-Ile et de Saint-Guénolé Penmarc'h : le trou de l'enfer, la roche des victimes ... 
La finesse de la chair des pattes de pouces-pieds est très iodée.
 
Préparation :
  1. Après avoir lavé les pouces-pieds à grande eau, les plonger dans une marmite d'eau bouillante salée, poivrée et additionnées éventuellement de vin blanc, de thym et de laurier.
  2. Le court bouillon doit être le plus discret possible afin de garder toutes les saveurs.
  3. Faire cuire 15 mn puis les égoutter. Attention! trop de cuisson les fait durcir.

Commentaire :
Servir les pouces-pieds chauds ou froids avec du pain de seigle et du beurre demi-sel.
Pour décortiquer les pouces-pieds, pincer et déchirer l'enveloppe au niveau du pédoncule et du capitulum, le corps rose sortira de lui-même.
 

 


Commentaires

 

1. piwizi  le 03-01-2012 à 21:42:59

très bon mais ça se mérite !
ces pousse-pied sont difficiles à cueillir mais si bon .
il y en a aussi sur la cote sud-ouest de l'ile de Groix
Merci Yoomie de les mettre à l'honneur

 
 
 
posté le 02-01-2012 à 14:25:59

Galoche bigoudène

La galoche bigoudène est un jeu de palets sportif, pratiqué dans le sud du Finistère (dans le Pays Bigouden).
 
Ce jeu se joue dans d'autres parties de la Bretagne voire en Basse-Normandie, mais la version bigoudène profite d'une complexification des règles, qui augmente l'intérêt du jeu, en particulier par la possibilité de tactiques d'attaque et de défense.
C'est peut-être cette spécificité qui lui permet de vivre, face aux activités plus courantes.
Ainsi, la galoche se joue encore régulièrement en Bretagne, et de nombreux concours locaux sont organisés.
La galoche peut de prime abord faire penser à une sorte de pétanque, mais le principe en est très différent.
Le jeu se pratique à l'aide de palets en fer de 0,850 kg, qui sont utilisés pour renverser la galoche, qui est un petit cylindre en bois, sur lequel est posé le liper, de la taille d'une pièce de monnaie, et qui est l'équivalent du bouchon en pétanque.
 
 
 

 


 
 
posté le 02-01-2012 à 12:57:16

BAIN DU NOUVEL AN

 Le premier jour de l’année dès les premières chaleurs du Nouvel An à Plougonvelin, bon nombre de bretons vont au bain.

 

Accompagné cette année par Hervé de Porsmoguer, dans une ambiance tonitruante, 81 baigneurs de 6 à 81 ans se sont jetés dans une eau à 12°, pour fêter fraîchement la nouvelle année sous l’œil vigilant de la SNSM.

 

Retour de plage avec Iroise TV avant le petit vin chaud.

L’équipe d’Iroise-tv.fr et ses partenaires vous souhaitent une très bonne année 2012.

 

 


Commentaires

 

1. bretony  le 03-01-2012 à 21:21:30

Heuuuu pas courageuse pour ça moi, mdr

2. equinox 2  le 07-01-2012 à 09:44:34

Brrrrrrrrrrrrrrrrr vite ma combinaison de plongée, quel courage, bisous oxxx

3. le vilain  le 23-03-2012 à 22:43:51

ahhhh non non non trop frileux moi mdr

 
 
 
posté le 31-12-2011 à 15:37:08

BRETAGNE: BREIZHIOUX

 BRETAGNE : BREIZHIOUX, UNISSONS-NOUS

 La Bretagne réunifiée constitue une région forte. Depuis trop longtemps l'Etat Français contrôle, ment et spolie nos citoyens.
Nos gouvernants refusent de voir cette option qui grandirait non seulement la Bretagne mais aussi la France.

 

 


 

 


Commentaires

 

1. LOUP.DE.MER22  le 03-01-2012 à 21:33:35

nous sommes un vrai peuple,nous ne sommes pas Français , mais breton et fier de l etre ,notre indépendance nous l avons gagnée .

2. christianus  le 03-05-2012 à 12:15:55

j,adore le drapeau breton,il est beau!!

 
 
 
posté le 31-12-2011 à 12:38:21

Maria Lambour

Maria Lambour. La Bretagne incarnée
 
Ma Bretonne de l'Année 2011 Maria Lambour, la Sud-Finistérienne qui a fêté ses 100 ans.
La Bigoudène est le symbole vivant de notre Bretagne et elle est désormais la seule à porter la coiffe tous les jours.

 
 
 Elle n'a pas vendu d'albums, n'a rien découvert, ni défilé sur des podiums.
C'est juste une femme ordinaire au destin finalement extraordinaire.
La petite Maria Le Berre, née il y a un siècle aux confins du pays bigouden, a été élue Bretonne de l'année par la rédaction du Télégramme.

Le pays bigouden peut être fier.
 
Une centenaire, avec son sacré caractère, et qui aurait pu être Miss France en 1929, a été élue Bretonne de l'année par la rédaction du Télégramme.
Les yeux encore de braise, l'art de la coquetterie - "Elle n'est pas de travers, là, ma coiffe ?" - à faire sourire le photographe : une drôle de dame, Maria Lambour.
Qui, gloire et beauté, et toute mise sur son 31 en cette veille de réveillon, reçoit à l'heure du café-pain-beurre avec un oeil malicieux, en se demandant bien pourquoi (ou en faisant semblant de le faire), elle est ainsi couronnée.
Et en s'interrogeant d'abord, sans verser dans le cliché : "Combien j'ai gagné ? Un bonbon ?". Combien ? Rien, Maria.
Juste le respect dû à votre grand âge et à ce que vous incarnez de la Bretagne d'hier et de demain.
Et au pire, un sachet de bonbons qu'on vous apportera. Parce que les fleurs, c'est périssable. 

Une femme ordinaire 

Elle a 100 ans, Maria Le Berre, dite Kerguen, mariée puis veuve Le Maréchal, plus connue sous le nom de Lambour.
L'identité, quand on est née aux confins du pays bigouden, n'est pas forcément dans le nom.
Elle est dans ce que les gens sont.
Maria Lambour, Bretonne de l'année, c'est l'occasion de rendre hommage à une femme ordinaire, au destin devenu extraordinaire.
L'Ile Chevallier, à Pont-l'Abbé, en 1911, n'était pas à proprement parler cet endroit bucolique qu'on aime aujourd'hui admirer.
La petite Maria qui, au demeurant, n'a guère grandi, naît dans un monde qui va connaître la guerre. Puis une seconde.
Rapidement veuve, Maria Le Maréchal vit sa vie de femme et de mère ordinaire. Tient sa boutique, sert des verres, du sans-plomb et de l'ordinaire. Laisse sa coiffe grandir sans céder à la mode de la ville, "mod' giz ker".
Jusqu'à devenir, à 100 ans, star de publicité, objet de curiosité parfois déplacée et, surtout, la dernière des Bigoudènes à porter, au quotidien, la grande coiffe. "Moi, le matin ? D'abord le café et après, je mets ma coiffe. Enfin, ça dépend, des fois aussi, je fais l'inverse", sourit-elle, naturellement. Naturellement parce que c'est ainsi, que ça l'a toujours été et que ça le sera jusqu'au bout. 

Hommage aux femmes 

Maria Lambour, Bretonne de l'année, c'est aussi, même si l'on peut penser l'inverse, sortir des clichés et dire, une nouvelle fois, que la Bretagne est bien vivante.
Si des générations ont vécu dans la crainte de revendiquer leurs racines, les cercles celtiques font désormais le plein de danseuses et de danseurs, pour des créations qui finissent par tutoyer l'art contemporain.
Les bagadoù se remplissent, au point que la fédération des sonneurs peine à fournir des formateurs.
La musique bretonne, s'affranchissant des carcans du traditionnel, explore, aujourd'hui, des territoires electro, voire punks, qu'on lui pensait interdits.
La Bigoudène, aussi, est l'image de marque de la région, notamment grâce au succès d'À l'aise Breizh.
Mais au-delà, rendre hommage à Maria Lambour, c'est aussi rendre hommage aux femmes de Bretagne.
Elle a vécu deux guerres, est devenue veuve.
Elle a connu les transformations du monde.
Elle n'a rien inventé, rien créé. Juste vécu.
Mais elle n'a jamais baissé la tête, ne s'est jamais décoiffée devant l'adversité.
Simplement, sincèrement.
En cela, Maria mérite d'être Bretonne de l'année, pour le symbole mais aussi pour l'exemple de fierté et d'exigence qu'elle incarne. Et qu'elle transmet aujourd'hui, presque malgré elle.

Marc Revel
 


 
 
posté le 30-12-2011 à 18:55:43

Chieftains - A Breton Carol (1987)

 
 Une chanson de circonstance par le plus grand groupe "Folk" traditionnel  irlandais (+ musique celtique) composé lors de la création de cet album de Derek Bell, Martin Fay, Sean Keane, Kevin Conneff, Matt Molloy, Paddy Moloney et pour la chanson d’aujourd’hui Nolwen Monjarret (voix).
Une carrière de bientôt cinquante ans pour ce groupe légendaire.  

 
 Quel bruit sur la terre ? Qui chante pour moi et qui j’entends,
Comme j'aime ces voix qui chantent dans les cieux,
 Et que disent-ils dans leur chanson ?  
Qu’est-il arrivé de nouveau sur la terre...
Nous entendons les gens chanter sur terre,  Je viens vous dire qu’il y a dans le ciel quelque chose d’incomparable,  Un petit enfant béni, le roi de Jérusalem,  et qui est né pour eux, les gens de la ville de Bethléem.
 


Commentaires

 

1. framboise24  le 04-01-2012 à 08:57:15  (site)

coucou

comme toutes les musiques bretonnes
elle sublime
a ecouter sans moderation
gros bisous ma douce amie

 
 
 
posté le 30-12-2011 à 17:09:44

Dinard

 

 

 
 Vue de l'Ile de Cézambre depuis Dinard (l'ile de Cézambre figure parmi les 3 lieux les plus bombardés par les alliés en 1944-1945)
 
 
Statue d'Alfred Hitchcock à Dinard où a lieu tous les ans, en septembre, le festival du film britannique.

 
                                          Philippez IC
 


Commentaires

 

1. Figue  le 31-12-2011 à 06:19:06  (site)

Bonjour la bretagne

belles photo de Dinar et environs

Bonne fin d'année

c'est aujourd'hui Samedi

le dernier jour de l'année 2011

passez un bon réveillon

Papa noel


2. framboise24  le 01-01-2012 à 08:46:12  (site)


bon dimanche a toi ma douce
gros bisous

 
 
 
posté le 30-12-2011 à 15:57:01

Le Kouign amann

Bretagne Terroirs
 

 
Pâtisserie traditionnelle bretonne, le kouign amann fut inventé, dit-on, en 1860.
De bien nombreuses versions existent pour expliquer son origine, et toutes se rejoignent pour dire qu'il a été réalisé pour la première fois dans une boulangerie de Douarnenez.
Le kouign amann tient son nom du breton « kouign », terme spécifique à la Cornouaille pour désigner un gâteau, et de « amann » qui signifie « beurre ». Toujours aussi fondant et croustillant, cent ans après son apparition, le kouign amann, ou gâteau beurré, est devenu une spécialité régionale.
Il s'intègre dans les coutumes de l'épiphanie, fête chrétienne qui célèbre la visite des mages à l'enfant Jésus.

Le reportage revient sur les gestes et les secrets de fabrication, ainsi que sur la popularité de cette spécialité régionale.
La fabrication artisanale fait toute la valeur de ce gâteau qui exige du temps et un certain savoir-faire.
Pas de recette authentique, nous dit ce boulanger, chacun ayant sa manière de le faire.
La levure de boulanger, mais surtout le beurre, deux ingrédients spécifiques au kouign amann, nous rappellent l'époque d'une Bretagne rurale où les boulangers confectionnaient également quelques modestes pâtisseries.
Devenu une tradition gastronomique, il est aujourd'hui fabriqué et vendu dans toutes les pâtisseries bretonnes et dégusté à maintes occasions, et non plus uniquement pour tirer les rois.
Produit du terroir apprécié pour sa qualité et sa saveur, la recette trouve toute sa place dans la gastronomie bretonne.
Inscrit dans la tradition et dans l'identité locale, le kouign amann concourt toujours aujourd'hui à l'image touristique de Douarnenez.

Pauline Jehannin - CERHIO – Université de Rennes 2
 
 
Il est toujours aussi bon aujourd'hui, quand il est élaboré avec de bons ingrédients comme le beurre de baratte, pour le gouter en 2012 comme autrefois rendez vous à la Biscuiterie de Quimper dans le joli quartier de Locmaria ou pour les plus éloignés...
 
www.ina.fr

 

 


Commentaires

 

1. framboise24  le 02-01-2012 à 09:11:22  (site)


bonne journee ma douce amie

2. equinox 2  le 07-01-2012 à 09:47:13

bon moi perso j'aime pas trop, c trop sucré bisous yoomie

3. Figue  le 18-01-2012 à 21:42:10  (site)


Personnellement , j'aime pas ce gâteaux , trop gras et sucré

je préfère les crèpes miam miam

car je met pas de sucre dessus

chacun ses gouts

gros bisous mon amie Yoomie à demain

 
 
 
posté le 30-12-2011 à 14:43:12

Rotheneuf

Rotheneuf. (35 - Ille-et-vilaine
 
A cinq kilomètres de Saint-Malo Intra Muros, en longeant la mer en direction de cancale, les Rochers Sculptés de Rothéneuf constituent un univers étrange, peuplé de personnages d’un autre temps :
Les figures grimaçantes façonnées par la main de l’homme évoquent les gargouilles médiévales et les êtres fantasmagoriques de nos cathédrales.
Cette œuvre est due à l’abbé Adolphe Fouré (1839-1910), ordonné prêtre à Rennes.
A 55 ans, une attaque cérébrale le laisse sourd et muet.
L’abbé se retire à Rothéneuf et y sculptera, à même le rocher, plus de 300 personnages.
S’inspirant de la légende des Rothéneuf, lignée effrayante de corsaires, pirates et nobles au tempérament sanguinaire, il met en scène chaque membre de cette famille, flirtant avec les créatures de l’enfer.
Le résultat est un jardin de pierre d’une superficie de 500 mètres carrés, dominant l’océan dans un site extraordinaire.
 

  
                                 Ankou La Légende Bretonne  FB
 


 
 
posté le 30-12-2011 à 11:36:21

Homard à la Morbihannaise

Difficulté : Facile
Temps de préparation : 30 minutes
Temps de cuisson : 20 minutes
Nb de personnes : 4

Ingrédients :
  • 4 petits homards bretons 
  • 200 g de beurre 
  • 3 cuillères à soupe d’eau-de-vie de cidre 
  • 2 oignons 
  • 1 cuillère à café de curry ou Kari Gosse 
  • 4 tomates 
  • 2 gousses d’ail 
  • 20 cl de Muscadet
Préparation :
  1. Fendez en deux les homards encore crus.
  2. Retirez les poches à gravier situées dans la tête puis prélevez le corail et la partie crémeuse.
  3. Mettez-les de côté.
  4. Dans une sauteuse, faites chauffer 100 g de beurre et faites revenir les homards sur feu vif jusqu’à qu’ils soient bien rouges.
  5. Arrosez d’eau-de-vie et flambez. 
  6. Ajoutez les oignons émincés finement,
  7. mélangez et laissez cuire 5 mn à feu doux.
  8. Salez légèrement, poudrez de curry et mélangez.
  9. Joignez les tomates pelées, épépinées et concassées, ainsi que l’ail écrasé.
  10. Mouillez de vin, couvrez et laissez cuire 10 mn à feu doux. 
  11. Dans un bol, malaxez le reste de beurre, le corail et les parties crémeuses.
  12. Retirez les homards de la sauteuse, maintenez-les au chaud.
  13. Filtrez la sauce,
  14. Incorporez-le beurre, noisette après noisette.
  15. Fouettez la sauce et servez avec les homards.

 


Commentaires

 

1. framboise24  le 31-12-2011 à 09:12:08  (site)


bonjour ma douce amie
comme ca l'air bon et facile a faire
bonne journee
gros bisous

 
 
 
posté le 29-12-2011 à 15:02:50

Petit clin d'oeil par Yves Le Jeune

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

   Yves Le Jeun  FB

 

                             http://www.flickr.com/photos/32163749@N02/

 


Commentaires

 

1. piwizi  le 15-01-2012 à 22:33:56

très belles photos
j'adore

 
 
 
posté le 29-12-2011 à 12:37:41

Trois jeunes gens, les frères Guissouarn.....

Trois jeunes gens, les frères Guissouarn, du village de l'Enès, en Callac, revenaient d'une veillée d'hiver dans une ferme assez éloignée de chez eux. Pour rentrer, ils avaient à suivre quelques temps l'ancienne voie royale de Guinganp à Carhaix.
Il fesait temps sec et claire lune, mais le vent d'Est soufflait avec violence..

Nos gars, que le cidre avait égayés, chantait à tue-tête, s'amusant à faire résonner leurs voix plus fort que le vent.
Soudain, ils virent quelque chose de noir au bord de la douve...
C'était un vieux sécot de chêne que la tempête avait déraciné du talus.

Yvon Guissouarn, le plus jeune des trois frères, qui avait l'esprit enclin à la malice, imagina un bon tour.
- Savez-vous ? dit-il, nous allons traîner cet arbre en travers de la route, et ma foi, s'il survient quelques rouliers après nous, il faudra bien qu'il descendent de voiture pour déplacer l'arbre s'ils veulent passer.
- Oui, ça leur fera faire de beaux jurons, acquiescèrent les deux autres.

Et les voilà de traîner le sécot de chêne en travers du chemin.
Puis, tout joyeux d'avoir inventé cette farce, ils gagnèrent le logis.
Ils ne couchaient pas dans la maison.
Pour être plus à portée pour soigner les bêtes, tous trois avaient leurs lits dans la crèche aux cheveaux.
Comme ils avaient veillé assez tard et qu'ils avaient en plus la fatigue d'une journée de travail, ils ne furent pas longs à s'endormir.
Mais, au plus profond de leur premier somme, ils furent réveillés en sursaut.
On heurtait avec bruit l'huis de l'étable.
- Qu'est-ce qu'il y a ? Demandèrent-ils en sautant à bas de leurs couchettes.
Celui qui frappait se contenta de heurter à nouveau, sans répondre.

Alors l'aîné des Guissouarn courut à la porte et l'ouvrit toute grande : il ne vit que le clair de la nuit, n'entendit que la grosse haleine du vent.
Il essaya de refermer la porte, mais ne put. Les forces de ses frères réunies aux siennes ne purents pas d'avantage. Alors, ils furent saisis du trenblement de la peur et dirent d'un ton suppliant :
- Au nom de Dieu, parlez ! Qui êtes-vous et qu'est-ce qu'il vous faut ?

Rien ne se montra, mais une voix sourde se fit entendre, qui disait :
- Qui je suis, vous l'apprendrez à vos dépens si, tout à l'heure, l'arbre que vous avez mis en travers de la route n'est pas rangé contre le talus. Voilà ce qu'il me faut. Venez.

Ils allèrent tels qu'ils étaient, c'est à dire à moitier nus, et confessèrent pas la suite qu'ils n'avait même pas senti le froid, tant l'épouvante les possédait tout entier.
Quand ils arrivèrent près du corp de l'arbre, ils virent qu'une charrette étrange, basse sur roue, attelée de cheveaux sans harnais, attendait de pouvoir passer. Croyez qu'ils eurent tôt fait de replacer le sécot de chêne à l'endroit où ils l'avait trouvé abattu. Et l'Ankou - car c'était lui - toucha ses bêtes, en disant :

- Parce que vous aviez barré la route, vous m'avez fait perdre une heure : c'est une heure que chacun de vous me devra.
Et si vous n'aviez pas obéit incontinent à mon injonction, vous n'auriez d'autant d'années de votre vie que l'arbre serait resté de minutes en travers de mon chemin
 

 


 
 
posté le 29-12-2011 à 12:17:02

La Bouillie Bretonne au Chocolat

Difficulté : Facile
Temps de préparation : 10 minutes
Temps de cuisson : 15 minutes
Nb de personnes : 4

Ingrédients :
  • 1/2 L de lait
  • 3 barres de chocolat
  • 1 cuil. à soupe de beurre
  • 3 cuil. à soupe de farine

Préparation :

  1. Faire fondre le chocolat dans le lait chaud.
  2. Préparer d'autre part, un roux blanc en faisant fondre le beurre et en y ajoutant la farine en tournant.
  3. Verser peu à peu le lait chocolaté,
  4. faire cuire ne tournant pendant 10 mn.
  5. Servir frais.
 


 
 
posté le 29-12-2011 à 11:25:55

Ma Bretagne est belle, ne la souille pas !!!!

 
L'échouage du cargo Maltais est une insulte contre notre région, contre notre faune et notre flore, contre nous les habitants de ce magnifique pays Breizh. 
Toute est solidaire pour dire....
Plus jamais ça!!!!!!!!!!!

 


 
 
 

Ajouter un commentaire

Pseudo : Réserve ton pseudo ici
Email :
Site :
Commentaire :

Smileys

 
 
 
Rappel article